Chaque mardi, l’ISG – Campus de Bordeaux organise des « Rencontres Métiers » (finance, business, management, RH,…). Le but de ces conférences est de partir à la rencontre de professionnels occupant des postes dans des secteurs différents. Ainsi, les étudiants peuvent se faire une image de métiers qui leur sont inconnus dès la 1ère année. Le mardi 23 février 2021 l’ISG – Campus de Bordeaux accueillait en visioconférence Paul Redmayne, directeur de Philips Flawless.
Un parcours Business
Fort d’un Bachelor d’Art du King’s College London M. Redmayne débute son parcours professionnel en tant que garçon de magasin chez Cartier. Un poste qu’il occupera durant 3 ans. Par la suite et pour trois années supplémentaires, Paul Redmayne travaillera pour Fred Paris. Il y sera successivement directeur adjoint puis responsable des ventes horlogères et bijoux senior de la marque Harry Winston. Il entre ensuite chez Moussaieff Jewellers en tant que manager de vente puis obtient le poste de gérant de boutique pour la marque Piaget. Son riche parcours s’étoffe encore alors qu’il devient responsable de la marque David Morris en Asie Pacifique pour 6 ans.
Durant 6 années supplémentaires, Paul Redmayne a été directeur des ventes à Hong-Kong chez Bonhmas ; puis il prend le poste de président du comité du luxe et du commerce de détail à la chambre de commerce britannique. Après sa nomination en tant que PDG de l’entreprise 55° East, il devient directeur de Phillips Flawless, à Hong Kong en 2019.
Témoignage d’étudiant
Arthur Gaillot, étudiant en 2ème année, a suivi la conférence de Paul Redmayne. Pour nous il témoigne :
« En ce qui me concerne, le parcours professionnel de M. Redmayne est un modèle de réussite de carrière à l’étranger. Réussir à s’imposer hors du territoire natal peut déjà s’avérer être une tâche difficile. Mais y parvenir dans un pays où la culture diffère à ce point, c’est une véritable preuve d’abnégation qui force le respect. En ce sens, Paul Redmayne est une sorte de modèle pour ceux qui envisagent de faire carrière à l’étranger, hors des frontières européennes qui peuvent nous paraître déjà elles-mêmes si lointaines. En somme, je vois cette intervention comme un témoignage démontrant que réussir à l’autre bout du monde, qui plus est dans le domaine du luxe, c’est possible. Il ne faut pas hésiter à se lancer, pour peu que l’on ait la motivation nécessaire. »